Populaire en pandémie, la fugue amoureuse !

Photo par Streetwindy via Unsplash.

Plus connu sous le terme anglophone d’« elopment », ou même francisé avec son accent par élopement, je crois que le terme fugue amoureuse mériterait une bien meilleure place dans nos vocabulaires !

Si historiquement le terme elopment renvoie à la notion de « quitter la maison en secret afin de se marier sans la permission de ses parents », on parle aujourd’hui d’un mariage qui serait simplement petit et intime. La fugue amoureuse rend possible une célébration d’amour plus intense — par la découverte d’un lieu de célébration que ne permet pas un grand mariage, en créant une expérience plus personnalisée et, parfois, l’aspect soudain de l’engagement ! — tout en réduisant la charge d’organisation et de gestion d’un grand mariage… Sans parler du coût total qui s’en trouve beaucoup moins élevé, la moyenne canadienne du coût pour un mariage revenant à un peu plus de 30 000 $ pour leur mariage !

Cette année cependant, c’est l’aspect pandémique qui semble motiver les couples qui m’approchent à la recherche d’un célébrant, lorsqu’ils mentionnent leur intérêt pour la fugue amoureuse. Les mesures sanitaires restant incertaines pour un futur rapproché, la simplicité de la fugue amoureuse ne demande qu’au minimum, les amoureux, un célébrant qualifié, deux témoins et une publication de mariage de 20 jours ! Cela rend l’incertitude pandémique, et le respect des consignes sanitaires, beaucoup plus simples.

Une fugue amoureuse vous tente ? N’hésitez pas à me contacter afin de planifier une célébration sur mesure !